Cette "anomalie" (qui n'en est pas une) a déjà été évoquée sur le forum. Il s'agit là d'un adverbe qui évite les redondances. A ne pas confondre avec "qui y est décédé" qui lui est une faute de français.Cette tournure de phrase était autrefois très utilisée dans le langage généalogique (voyez les grands usuels). Mais, bien que légèrement suranné, cet adverbe me permet de récupérer, in extremis, le nom du lieu que le programme ne pouvait mémoriser.
Par ailleurs, je lis dans "Mélanges généalogiques, Nord et Centre de la France", du Général d'Esclaibes, 1965, J. Peyronnet et Cie, imprimeurs-Editeurs :
. Page 93 : Alexandrine-Marie-Adélaïde, née et baptisée à Paris (...) ; elle épousa Louis Thévenin, marquis de Tanlay, né le 12 mai 1787 à Paris, y décédé le 26 juin 1867 ;
. Page 128 : Jean de Clerck, dit d'Oude, né le 19 septembre 1694 à Ostende, y décédé le 4 octobre 1764 et inhumé en l'église de cette ville.